• MES CREAS

    Quel mot admirable, vénéré par tous!
    Tout le monde s'incline devant toi,
    On pourrait, bien sur dire que c'est la loi commune
    N'est t-il pas de rigueur
    De tromper son voisin, de mentir à son prochain?
    Sans toi, la vie aurait été dure
    Tu nous épargnes bien des conflits
    Quand on s'incline mielleusement
    Devant l'autre, masquant notre opinion
    Copiant la sienne avec un tel art
    Que chacun de nous mériterait l'oscar
    Qu'importe les petites fissures dans notre âme
    Notre intégrité bafouée de taches
    Notre comportement conforme aux lâches
    Cette bourbe ou l'on se vautre et qui nous damne
    Cet amour-propre qui s'évanouit de jour en jour
    Pour devenir un souvenir des jours heureux
    Ou nous pouvions nous regarder bien en face
    Sans ressentir de malaise, ce sentiment
    Infâme de honte
    Hypocrisie, douce hypocrisie
    Dis moi, que serions nous sans toi?
    Tu nous sors toujours de l'embarras
    Et ce serait vraiment ingrat
    De notre part, de dire du mal de toi.


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  • MES CREAS

    Le plus beau jour, c'est aujourd'hui;

    La chose la plus facile, c'est de se tromper;

    La plus grande erreur, c'est d'abandonner;

    Le plus grand défaut, c'est l’égoïsme;

    La plus grande distraction, c'est le travail;

    La pire faillite c'est le découragement;

    Les meilleurs professeurs sont les enfants;

    Le plus grand besoin, c'est le bon sens;

    Le sentiment le plus bas, c'est la jalousie;

    Le plus beau présent, c'est le pardon;

    La plus grande connaissance, c'est celle de soi;

    La plus belle chose au monde, c'est une belle et sincère Amitié………… 


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  • MES CREAS

    Chanter  pour se dessiner un  monde
    C'est pas si loin le temps
    Où je m'en allais errer

    Pour sentir des mélodies
    Qui m ' inondaient d'espoirs
    Je chantais pour oublier
    Tapis dans l'ombre,
    Tu me regardes dans les yeux
    Me prends par la main,
    Et me souris enfin,
    D'un geste tu m'apaises
    Et me réchauffe un peu
    Je suis bien,
    Mais est-ce vraiment ce que je veux ?

    Mais qu'est-ce que j'ai fait ?
    Où je vais ?
    Ce poème est un Adieu à ce que j'étais
    Pourquoi moi ? Je ne sais pas
    Quel est ce monde où tu m’emmène ?
    Et je revois,
    Le cours de ma vie
    Je crains que rien ne soit plus pareil
    Mais je ne regrette rien
    Non, je ne regrette rien

    Pleurer, mes amis, mes illusions,
    Purifier derrière les murs d'une prison dorée
    Mais garder l'envie,
    Vivre ma passion
    Qui sépare un écran de télévision,
    Sorti de l'ombre,
    Je te regarde dans les yeux,
    Et je te sens si fragile
    Dans ton châteaux d'argile,
    D'un geste tu me nargues,
    Et disparais un peu ainsi soit-il ...
    Car c'est vraiment ce que je veux !

    Mais qu'est ce que j'ai fais ?
    Ou je vais ?
    Ce poème est un adieu à ce que j'étais
    pourquoi moi ? je ne sais pas ?

    Quel est ce monde ou tu m'emmène ?
    Et je revois le cour de ma vie
    je crains que rien ne soit plus pareil
    mais je ne regrette rien

    Mais qu'est ce qu'il m'arrive ?
    Je dérive ?
    Et ce poème est un adieu à ce que j'étais
    pourquoi moi ?! Je n'sais pas !!
    Tous ces délires ou tu m'emmène ?
    Et je revois le cour de ma vie

    Je crains que rien ne soit plus pareil
    mais je ne regrette rien
    non je ne regrette rien


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  • MES CREAS

    Sans détour sans partage,

     Sa vie tel un adage sans ombrage,

    S’augure de ce que du commun des mortels.  

    De nature et simple convoitise que d’objet fût la belle

     De s’être en pudique générosité.

     

    Offerte telle une orchidée à ceux qui lui faisaient en de simple sourire

     Pour ne pas marchander cette si belle poupée.  

    Comme toute, elle fût jeune femme,

     Puis femme en dame pour de mère redevenir femme de cet âge

     Ou le doute, et le temps fait de blessure de ce qu’une simple ride augure!

     

    Enfermée dans la prison qu’elle s’est crée, pour ce défendre de ce qu’elle croît ne plus intéresser.  

    Elle en devient rageuse en d’amertume croyances qui en son cœur la dévore de ne se sentir plus suffisamment belle  

    Et en oublie ce regard discret qui ce pose constamment sur elle.

     

    Il a abandonné toute idée de déposer un baiser, sur ce cœur qu’elle a emmuré à jamais de s’être tant obstinée de par cette envie

    de seule être laissée.  

    Lorsqu’il est avec elle, il feint de l’ignorer!  

    Mais il ne peut et ne veut se priver de respirer cette féminité dont il sait que de nos jours, elle se fait rareté.

     

    Il ne dit mot mais en son cœur vibre toujours cet amour qui jadis le vît  l’aimer de cet amour qui  aujourd’hui n’a pas changé.  

    Condamné à rester dans l’ombre de l’amour, il se voue à une fin lente et douloureuse.  

    Comme si il croyait encore, qu’un jour peut être, elle lui dirait.  

    Enfin je sais, enfin je t’aime.

     

    Mais il n’y croit plus et aussi stupide qu’il puisse y paraître.  

    Il se condamne à mort, parce qu’il ne se voit d’autres sorts.  

    Ainsi pense t’il, qu’une fois le trépas son cœur l’oubliera.  

    Tristesse que tant de tendresse ne fusionne en une simple jonction,

     qui si elle était tout simplement elle.

     

     

     

    Verrait en ces jours qui hélas ne présagent que sa fin, ce qui pour moi.  

    Aurait pu et pourrait donner jour au plus beau des amours!  

    J’avoue être malheureuse d’assister à ce qui pour moi est une tragédie, une de ces absurdité de la vie.  

    Ou tant de gens, qui pour de bête mal entendu ou de sise position en leurs esprits contredits.

     

    Cette  déconvenue  d’être aimée pour se perdre dans de prétextes amitiés.  

    Au lieu d’inonder ce monde d’amour, qui n’est hélas devenu qu’un champ de bataille ou rare sont ceux, qui ont compris.  

    Que l’amour est une guerre de chaque instant, qui requiert que l’on soit un vrai combattant.

     

    Elle est belle, elle est rare, elle suinte la féminité, elle augure tant de beauté, elle est si raffinée, mais hélas, elle s’est oubliée.  

    C’est bête, c’est vraiment trop bête et ensuite bêtement ils regrettent.  

    Que dire de plus?

     

    Je ne suis qu’une pilule, une toute petite pilule, qui ne sait si je regretterais.  

    Mais que d’avoir aime, à jamais je ne pourrais regretter.  

      

    Seylene aux éditions «  s’il vous plaît, aimez vous, merci! » 

     

    SEYLENE ENCORE MERCI POUR CE TRES JOLI POEME QUE JE N'AI PU M'EMPECHER DE METTRE SUR MON BLOG


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